Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des cultivateurs, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa domicile, bâtie de pierre et de bois abîmer, exhalait nettement une odeur d’herbes https://jolie-voyance42196.blogars.com/32474030/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance