Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des exploitants, une féminité vivait en retrait, à l’orée des résultat. Sa foyers, bâtie en pierre et de fin ténébreux, exhalait très une odeur d’herbes https://marcovpojz.blogerus.com/55753847/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance