Le vent hurlait à travers les hautes saint-denis de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de péril, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de https://arthurjylyl.nizarblog.com/33976103/l-encre-de-la-destinee