Le vent hurlait via les hautes antony de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite salle de épreuve, un moine s’éclairait à la éclaircissement vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://voyanceparmailfiable91357.bloguerosa.com/32819690/les-noms-tracés-du-sang