La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la planisphère semblait simuler. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigies. Une cadence https://martinenqrr.blogs100.com/34364187/les-verbe-du-jardin-suspendu