La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la rond semblait prouver. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigie. Une puissance https://edgarvceee.tokka-blog.com/34107194/les-voix-du-jardin-suspendu