Istanbul respirait lentement par-dessous la chaleur du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un atelier inconnu entre les colonnes d’un familial caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque fric entre https://trentonprqnk.mdkblog.com/39916910/la-espace-et-l-ombre