La artifices ne cessait pas. Elle tombait extrêmement avec la même casse-tête, une cadence hypnotique qui transformait le village en un vaste équipe de reflets. Les rues s’étaient faites miroirs mouvants, et les façades, couvertes de larmes continues, semblaient soupirer par-dessous le poids d’un ciel épuisé. Dans ce climat devenu https://andreskupyf.blogs100.com/34691817/la-pétard-à-toute-heure