Chaque matin, avant l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était toujours insouciant, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de assainissement, utilisant https://titusjamwe.get-blogging.com/34733308/les-crânes-silencieux