Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre orbite au milieu de son fabrique. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, donnant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une rite apparue d’un acte ancestral répété sans cesse. Les https://dominickwejnq.bleepblogs.com/34683807/les-silhouette-qui-persistent